Si ce type de projet est contesté, et si des jugements négatifs à son encontre interviennent si tard, ce n’est pas la faute des "opposants", mais à cause :
de lois mal faites (ou plus exactement, faites d’abord par et pour les aménageurs, voire notamment le cadeau fait par Cahuzac sur la défiscalisation et la prolongation opportune des autorisations de déboisement par Valls),
des diverses commissions seulement consultatives (mais néanmoins coûteuses...) qui permettent aux pouvoirs de s’assoir dessus (comme le disait crûment l’ancien préfet auteur de l’arrêté annulé le 16 juillet),
des élus et (...)