EN BREF – L’État rechigne toujours à communiquer l’intégralité de ses échanges avec Pierre & Vacances sur le dossier du Center parcs de Roybon en Isère. Sommé par le tribunal administratif de Paris de transmettre ses courriers et courriels, il se pourvoit en cassation. Ravivant l’hypothèse de potentielles collusions entre les plus hautes sphères dirigeantes et l’auto-proclamé numéro un des résidences de loisirs.
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