Ils sont propriétaires d’appartements chez Pierre et Vacances à Port-Bourgenay. Les changements de conditions ne leur plaisent pas. Un collectif s’est créé.
« Ce village, j’en suis amoureux ! Je ne veux surtout pas le voir mourir.  » Pierre et Vacances à Talmont-Saint-Hilaire, c’est une institution. Un « petit  » coin de paradis de 90 hectares, à Port-Bourgenay, la partie littorale de cette commune, près des Sables-d’Olonne.
Plus de 1 300 appartements dans des résidences, avec des commerces, des rues piétonnes pour se balader, un lac, un golf... Le tout à deux pas de la belle plage du Veillon, de la forêt et du port de plaisance. « Lorsqu’on est venu visiter, on a acheté le jour même  », se souvient Gérard Bouthier, qui possède aujourd’hui deux appartements, un studio-cabine de 22 m2 et un deux-pièces de 28 m2. C’était aux débuts du village, en 1986. « De Région parisienne, on avait l’habitude de venir régulièrement au camping, à Longeville.  »
Aujourd’hui, Gérard Bouthier a beau adorer le site, il est en colère. Il préside, depuis presque un an, une association de copropriétaires regroupant plus de 150 adhérents.
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