Roybon le 18 décembre 2014
38940 ROYBON
Lettre d’un habitant de ROYBON à tous ses amis des CHAMBARAN
Chers Amis,
Je prends note de l’énième rassemblement pour différentes manifestations qui font polémiques entre "pros" et "anti" sur le projet d’implantation d’un Center Parcs à ROYBON.
Pour moi, depuis longtemps j’ai défini ma position sur ce sujet.
Organiser des manifestations aux différents opposants à ce projet n’apportera aucune solution constructive.
Je n’ai rien d’un anarchiste, les amalgames revendiqués par certains élus aux opposants n’apportent pas de crédibilité à leur fonction, remonter les citoyens les uns contre les autres n’a rien de constructif.
Il aurait été préférable de réfléchir au bon moment, de se poser les bonnes questions sur le pourquoi d’un tel projet à Roybon, enfin, écouter, entendre, respecter tous les avis des citoyens de ce village.
Toutes convictions exprimées en faveur de ce projet méritent une attention particulière tant les intérêts privés des "pros" sont trop souvent utilisés hypocritement sous prétextes de créations d’emplois.
Localement, la situation financière de la commune de ROYBON laisse entendre une possible mise sous tutelle administrative depuis de nombreux mois, fruit d’une gestion de la dernière municipalité sortante.
Face à la gravité financière de la commune, les habitants sont quotidiennement embobinés, soumis à la doctrine du sauveur prometteur avec des paroles angéliques de quelques élus.
Ces Roybonnais arrivent à croire au messie Pierre et Vacances pour sortir notre commune d’une situation financière catastrophique, sans vouloir réfléchir sur les véritables causes de notre endettement, sans analyser les véritables conséquences environnementales sur la réalisation de ce projet, sans se soucier des nombreuses incidences négatives qui vont se cumuler.
Une véritable étude chronologique au lancement de ce projet était indispensable administrativement envers tous les citoyens et avant toutes précipitations démesurées.
Ainsi, l’enquête publique obligatoire aurait dà » s’instruire avant toutes autorisations administratives sur un rayon géographique équitable impacté par le lieu d’implantation pour ce Center Parcs, cela aurait évité de vivre un tel désarroi.
La limite cadastrale départementale passe sur les abords de la zone concernée par l’implantation de ce projet, elle détermine aussi les couleurs des courants politiques exprimés chez "antis" et "pros"
D’un côté la Drôme, les Verts défenseurs des Chambaran et de sa beauté au naturel se sont regroupés aux sympathisants de l’Association Pour Chambaran Sans Center Parcs.
D’un autre côté l’Isère, la couleur orange représente les partisans et adeptes des créateurs d’emplois avec des politiciens regroupés par l’association Vivre en Chambaran.
L’objectif de cette nouvelle association est de scander la nécessité d’une mise en fonction rapide des gros matériels nécessaires à une transformation immédiate de la forêt des Avenières en cité balnéaire tropicale avec une bulle chauffée.
Personnellement, je vous précise mon attachement à ce massif et la présence de mes aïeux à Roybon, il y a 333 ans, les origines ancestrales de mes familles sont inscrites dans les archives.
Ma sœur, épouse de mon associé est une résidante de Montfalcon, elle est née à Roybon, ma mère retraitée, était la cuisinière du village d’enfants (I.M.P.)
Ma passion pour la gestion de la faune sauvage, la sauvegarde de ses milieux naturels, associés à mon engouement culturel pour cet environnement, ont toujours fait preuves de mes engagements dans diverses associations de Roybon depuis 1976.
Sans esprit d’orgueil, je précise qui je suis, je pense bien connaître les biotopes boisés du massif des Chambaran affecté à 20 communes en partant de Brion jusqu’aux communes limitrophes de la Drôme.
Ma passion et mes connaissances de ces milieux depuis mon plus jeune age m’ont conduit à la fondation du Groupement d’Intérêts Cynégétique des Chambaran pour lesquels, j’ai assumé le poste de secrétaire et ensuite de Président pendant de nombreuses années.
J’ai eu l’honneur d’être retenu comme représentant de notre massif, à titre d’exemple pour les journées nationales de la Chasse à Châteauroux aux côtés de Huguette BOUCHARDEAU, puis à Bordeaux aux côtés de Alain CARIGNON tous deux ministres de l’Environnement.
Cette conviction d’une nécessité participative généreuse au profit de la gestion des espèces sauvages m’a toujours conduit à ne devoir prélever que les intérêts d’un capital faunistique tout en garantissant une protection des milieux naturels.
C’est ainsi que j’ai été nommé en 1984, pour un mandat de 3 ans, membre suppléant au Conseil National de la Chasse et de la Faune Sauvage à titre de personnalité qualifiée de terrain en représentant du ministre de l’Environnement par la Direction de la Protection de la Nature.
Dans un passé récent, structures associatives et adhérents bénévoles montraient autour des élus respectifs de notre commune et de notre intercommunalité des Chambaran une solidarité participative entre citoyens, professions libérales, salariés, retraités et associations diverses.
De très bonnes initiatives étaient exemplaires pour les différents regards portés sur nos résultats à ROYBON.
Souvenez vous !
De la fierté des membres du bureau de l’A.C.C.A de ROYBON, lauréate des Honneurs LAURENT PERRIER de la Chasse et de la nature, tous réunis à Paris le 20 septembre 1984 autour de son Président Bernard DUMOULIN et de son Maire Henry TROUILLET avec Monsieur l’Administrateur de secteur pour la Fédération des Chasseurs de l’Isère, ROYBON et ses habitants faisaient la une des journaux, c’était l’exemple à suivre.
N’oublions pas le comité des fêtes !
- La vogue regroupait petits et grands, femmes et hommes de Roybon pour la préparation de ses chars, de ses O.R.N.I.S regroupant l’ensemble des adhérents des associations.
La salle des fêtes toujours décorée de manière exemplaire était toujours comble pour le bal de la ST Valentin doté d’une attention particulière de grande qualité pour la réception de ses convives.
- La fête de la chasse, du cheval et de la nature était une des fiertés du pays avec tous ses stands, sa messe ST Hubert et ses présentations diverses.
- Notre stade vivait quotidiennement avec les cris de joie des enfants encouragés des familles, amis et parents aux cours des entraînements et matchs de football.
- Les journées de formation des sonneurs et groupes de trompes de tout Rhône-Alpes embellissaient un quotidien sur le massif des Chambarans, les concerts du soir remplissaient tour à tour notre église, l’abbaye de ST Antoine, le prieuré de Marnans.
- Invités annuellement le jour du 1er mai par l’Office du Tourisme et par la GYM de Roybon, les randonneurs venaient nombreux aux rendez-vous du village pour parcourir nos sentiers de randonnées.
Toutes ces festivités réunissaient au cœur de notre village des milliers de personnes, nos commerces locaux en étaient les premiers considérés, les premiers bénéficiaires.
Combien de fois, avions nous vu les gens former une file d’attente sur le trottoir pour se faire servir.
Dans cet état d’esprit de solidarité, deux boulangeries, deux boucheries, bars, restaurants, épiceries, écoles et collège fonctionnaient bien.
Avec une bonne gestion municipale et cantonale, de grands travaux étaient conduits. Exemples :
- Sur notre collège pour la rénovation des salles de classe : Remplacement des menuiseries avec isolation, plafonds acoustiques, murs repeints ect…
- Dans son prolongement, s’ajoutait la construction d’une cantine avec réfectoire et cuisine, le tout, équipé de mobiliers et matériels neufs.
- Cette dynamique faisait l’objet de la construction de la bibliothèque et d’un nouveau groupe scolaire suivi d’un bâtiment pour l’Office du tourisme.
- Notre petite communauté de communes des Chambaran était appréciée, les agrandissements de ses bureaux étaient compris, son fonctionnement était à la portée et à l’écoute de ses citoyens.
D’un seul coup, tout change, place à une nouvelle vague politique, d’autres groupes d’élus se constituent, leur conviction ne doit pas être contestée, ils ont la science infuse sur toutes les décisions, c’est le commencement d’un grand n’importe quoi.
Avec nos bulletins de vote, ils deviennent les grands décideurs, l’argent du contribuable n’a plus de prix, tout le travail et l’organisation du passé est remis en cause, plus rien de l’existant ne semble avoir d’importance face aux convictions d’une majorité de ces élus.
Le travail des bénévoles, des entreprises et des commerçants locaux ne retient plus leur attention.
Le gâchis engendré par leur vision et les décisions prises interpellent chacun de nous, je ne veux pas être le béni-oui-oui à leurs cotés sur les Chambaran.
- Pourquoi avoir réparé un collège, construit une cantine et devoir fermer l’ensemble de cet établissement dans la foulée ?
- Pourquoi avoir agrandi les bureaux de la communauté de communes pour ensuite se retrouver à la plaine de Bièvre ?
- Pourquoi investir dans la construction d’un office de tourisme à Roybon pour ensuite transférer l’organisme sur la Bièvre ?
- Pourquoi avoir construit un groupe scolaire pour fermer ensuite le collège entièrement rénové ?
- Combien d’emplois perdus par toutes ces fermetures d’établissements publics ?
- Pourquoi avoir investi tant d’argent sur la digue et l’aménagement de la zone de loisir du lac à Roybon avec un coà »t faramineux de travaux supplémentaires et vouloir faire un deuxième lieu de loisirs dans un parc sur la commune ?
Tout cela s’effectue sans réflexion, sans compter, avec un énorme gaspillage d’argent conduisant à des endettements désespérants aux frais des contribuables ?
- Comment les travaux supplémentaires du lac ont-ils étaient conduits avec une même entreprise en même temps que le transport et les stockages de matériaux en prévision des travaux de la déviation d’une route départementale ?
- Que penser de cette réflexion : conduire des investissements énormes à une deuxième zone de loisirs aux frais du contribuable, au profit d’un groupe d’intérêts financiers privés pour constituer une véritable concurrence à l’essor de notre lac, à tous nos petits commerçants, gîtes, campings, centres équitation, etc……….
L’une de ces zones de loisirs est existante, propre, entretenue à ciel ouvert autour de son lac avec sa beauté au naturel ; l’autre doit se construire avec un parc et sous une gigantesque bulle chauffée avec centre aquatique pour y faire pousser des palmiers et faire bronzer des touristes en hiver en Chambaran, une absurdité inqualifiable dans toute sa splendeur ?
Qui peut comprendre, quand on connaît la géographie du secteur, les conséquences financières que nous subirons sur les taxes d’assainissement pour financer ces adductions en eaux, assurer le fonctionnement et l’entretien qui en découlera ?
Pour la consommation en eau : Il sera nécessaire de pomper celle-ci dans la Bièvre, la faire monter par canalisation et pompes sur le plateau du camp militaire, redescendre sur la vallée de la Galaure et remonter sur le plateau des Avenières.
Pour l’évacuation des eaux usées : Il est prévu de descendre les canalisations à Roybon remonter sur le plateau de l’Etoile, rejoindre Varacieux, St Vérand et pour terminer dans le cours de l’Isère.
Quel beau programme, je n’en connais pas l’exactitude des tracés ni le coà »t final d’un financement qui augurera de grandes surprises ?
Face à une absurdité pareille, nos anciens deviendraient fous, une telle dépense néfaste à notre environnement sera un lourd fardeau pour nos générations futures.
Une chose reste sà »re, il faudra traverser ou longer sur plus de 20 kilomètres des propriétés et les récoltes.
Les mécontents ne pourront donc que grossir les rangs des contestataires opposés à cette politique de ravage de nos biotopes. Ils seront alors contraints sous un prétexte d’utilité publique de mettre les terrains à disposition pour ces travaux de canalisations.
Dans une période de crise, doit on allouer des subventions avec l’argent du contribuable pour une cause à double emploi, sur une même commune, sans aucune utilité justifiée ?
Tout cela s’effectue délibérément de manière détournée au bénéfice d’un groupe financier privé attiré par un seul objectif bien étudié :
- Profiter de notre territoire avec sa beauté au naturel,
- Attirer les clients potentiels dans un parc fermé avec des droits d’entrée payants pour des attractions déjà existantes en espace libre et liées à la réputation de notre environnement (Exemples natation, vélo, équitation, tennis ).
- Se servir des politiques qui n’assument aucune responsabilité sur les gaspillages et les endettements totalement abusifs mis à la charge des contribuables.
Nos campings, les gîtes ruraux, tables et chambres d’hôtes, centres équestres, hôtels, restaurants sont implantés sur le massif et sa périphérie depuis longtemps, certains ont bénéficié de subventions, ils sont variés et dignes de recevoir touristes et adeptes à ces types de loisirs.
Comment croire à une priorité de subventions allouées pour un tel projet à double emploi sous un prétexte d’utilité publique ?
Toutes ces interrogations à cette nouvelle politique de gestion des territoires ont de graves conséquences financières pour les contribuables que nous sommes.
Et pourtant ! les bases de notre démocratie et de notre République sont-elles pas fondées sur la vie associative ?
Depuis cette nouvelle génération d’hommes politiques en action sur notre territoire, nos associations sont profondément désintégrées, plus de comité des fêtes, plus de foot, plus de fête de la chasse, plus de société de trompes, plus de marches etc ……… Pourquoi !
Nos demandeurs de permis de construire pour ROYBON ne semblent pas avoir d’autres choix comparativement à ceux de nos contrées limitrophes, ainsi, ils partent construire ailleurs.
À Roybon, suivant les derniers plans d’occupations des sols, les nouveaux projets doivent regrouper les constructions avec des fondations et les pieds dans l’eau ?
Résultats : Notre belle forêt de la Sapinière est entièrement détruite.
Cet emplacement au plan d’occupation des sols pour des constructions privées n’apporte aucune satisfaction, ce n’est plus qu’un amas de ronces poussant sans contrainte.
Tous les résidants potentiels s’exportent en d’autres lieux.
Pendant ce temps, nos coteaux se garnissent d’une végétation envahissante, les subventions agricoles tombent pour les fermiers, une majorité des propriétaires fonciers ne peuvent que se taire, regarder pousser ronces et buissons, sans pouvoir bénéficier d’une possibilité de permis de construire ou d’une reprise de leurs terres pour une meilleure gestion de leurs biens.
Transformer ROYBON en cité industrielle touristique se dessine principalement par une gestion politique incomprise et fortement contestée par des gens soucieux d’un devoir de respect de l’environnement sur cette commune.
Notre canton, notre communauté de communes disparaissent avec le beau logo jaune et vert des Chambaran imprimé de la mention << tout naturellement >>.
Cette nouvelle intelligence économique territoriale se rassemble, elle invite à manifester à l’appel de Vivre en Chambaran sous la couleur orange synonyme à l’équipement pour de grands travaux en vue de ce Center Parc (voir Photos Dauphiné libéré)
Des banderoles s’étendent dans les villages voisins, elles laissent supposer un aval des habitants à ce projet et donnent un soutient à leurs élus pour une politique de gâchis et d’endettement de nos collectivités.
Au choix entre deux couleurs d’agrumes intercommunales, je préfère garder les couleurs jaune et verte du citron, emblème de l’ancienne communauté de communes, beaucoup plus digestes pour moi tout naturellement, à celle des oranges fruits des grands chambardements et de la ruine financière.
Pour moi , VIVRE EN CHAMBARAN ne représente qu’un seul idéal
- C’est pouvoir continuer ma vie sur ce massif forestier avec sa beauté au naturel, autour de ma famille, de mes voisins, avec les gens, enfants de mon village et de sa contrée, dans un esprit de camaraderie indissociable à l’image des parties de cartes de PAGNOL.
- C’est pouvoir continuer à nager, pécher naturellement au fil des saisons, continuer à pouvoir parcourir à pied les Avenières à la recherche de mes champignons, pouvoir retrouver les inoubliables rapprochés sur lièvres avec mes Brunos du Jura sur ce plateau, continuer à échanger les conversations avec cavaliers, randonneurs, vététistes sans avoir une pollution de voitures et l’entrave d’un gigantesque parc sur notre commune.
Chacun doit le savoir, il ne sera plus possible de chasser autour de tous ces cottages, bureaux, parkings, bulle tropicale, chaufferie gigantesque dans un rayon minimum de 150 mètres.
Cette zone de 150 mètre entourée de bois sera forcément agrandie d’un périmètre de sécurité obligatoire qui sera rendu par un arrêté préfectoral sécuritaire, bref, on ne pourra donc plus perpétuer nos loisirs sur ce plateau des Avenières.
Dire que Roybon fà »t la première commune de France à avoir conquis le droit de chasse ?
Tous les travaux des bénévoles ayant collaborés avec le département à la conservation des sentiers, soit en association pédestre ou équestre, seront remis en question sur les Chambaran.
Les marquages des tracés, l’élaboration des plaquettes, les panneaux d’informations deviendront caduques sur cette partie du massif.
Je dois au passage dénoncer la façon lamentable de Pierres et Vacances pour son chèque de 4500 Euros versé au compte de l’A.C.C.A de Roybon afin de museler les membres de son bureau.
Restent nos vœux les plus chers pour ma famille et moi-même : Pouvoir continuer à faire nos courses dans notre village à ROYBON sans être pris en amalgame par les défenseurs de ce projet.
Notre liberté s’arrête là où commence celle des autres avec le devoir et le droit de pouvoir nous exprimer.
Nos bulletins de vote déposés dans l’urne électorale ne sont pas des procurations pour servir nos élus à la ruine du pays.
Personnellement, je n’entends pas m’associer dans une foule orange aux côtés de gens non soucieux de nos biotopes ou à des manifestants manipulés et uniquement présents pour des intérêts financiers personnels.
Ex entrepreneur en menuiserie, j’avais avisé en son temps ma position sur ce projet Center Parcs, mon courrier a été adressé en mairie avec copie transmise à la Présidente des commerçants de ROYBON, j’en ai connu que le revers et la triste attitude du pouvoir politique.
Rien ne changera pour moi, à l’appel de notre nouveau Maire, Serge PERRAUD, je réponds présent pour lui apporter bénévolement et dans la mesure du possible ma compétence professionnelle à notre commune sur un plan associatif et bénévole.
Faute d’argent et face à la situation financière catastrophique de notre commune, je reste disponible à aider la municipalité afin de redorer le blason de la salle des mariages de notre mairie, ce ne sera pas un luxe pour moi, seulement de la solidarité envers les Roybonnais.
Cette nécessité d’apporter une aide bénévole est pour moi une priorité. C’est avant tout pouvoir redonner la possibilité de se réunir en société au bénéfice de Roybon.
Nous ne pouvons faire autrement face à la triste situation laissée en héritage sur nos finances par notre dernier maire, conseiller général et banquier de profession face au piteux état de nos locaux restés sans entretien à l’exemple de la salle des mariages.
Enfin, je terminerai ma lettre en pensant aux prochaines décisions du Tribunal Administratif.
Quel que soit le verdict, nous devrons retrouver une cohésion sociale indispensable à notre vie de tous les jours à Roybon.
Etienne ROUX GOUDIN
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